mercredi 11 décembre 2019

Rétrospective 2019, partie - 2


Encore cette année, j'ai souvent entendu dire que les petits oiseaux n'ont plus d'insectes pour se nourrir. Un fait liée, aux pesticides, au réchauffement climatique, et à d'autres causes plus ou moins connues à ce jour (ondes radio-téléphoniques, chemins de migration différents, le manque d'eau, des biotopes détruits, etc...une longue liste liée a nos activités trop humaines encore et toujours).


Mais ces magnifiques animaux à écailles, ici, vertes, ou d'autres couleurs souffrent également de la disparition des insectes, mais nous ne le disons pas suffisamment. 

Il faut avouer, que nous sommes nombreux à être attiré par l'ornithologie plutôt que  herpétologies. On y trouve surement plus de sens, dans la beauté que recèles les plumes. Alors que l'herpétologue est avides de rencontres à ne pas laisser au lézard. 
Tout comme nous, ces amoureux, y trouvent aussi leur compte, en esthétisme et dégradés de couleurs. Il faut dire qu'ils sont peu nombreux à aimer ces individus à sang froid. Et, il est tellement vrai, que depuis la nuit des temps, nous n'aimons pas trop croiser des serpents sur nos chemins, lors de nos ballades.

Ce qui fait de nous, les photographes animaliers, les générateurs d'un racisme animal : le spécisme.  

Personnellement, je ne fais pas de différence dans ce qui vit, si j'ai la chance de croiser ton beau regard, alors je te prendrais si j'y arrive en photo, c'est un peu ma philosophie.


Les rayons du soleil étirent de toutes petites vies et les animent toute une journée.



Au cœur des fleurs, se cachent des bêtes noires, aux bonnes intentions.



Même ces oiseaux que l'on ne peut voir qu'en altitude, descendent et affichent la grâce de leur vol, dans le creux des vallées, à la recherche de proies.


Kaze



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