mardi 21 juin 2022

Malade depuis plus de 10 000 ans - partie 1

Allons ensemble chez le psy-chia-tre,
Il est vraiment temps...de faire...quelque chose...

 
Ces jours ci, je me ré-interroge d’une question à 10 balles disant " il y a 1000 ans, voir 500 ans en arrière, ces hommes du moyen-âge s'étaient-ils déjà en 1522 (par exemple) posé la question, de savoir s'ils pouvaient continuer ad-vitam æternam à découper ou abattre autant d’arbres en pensant a ceux, qu’il avaient déjà abattus ? Ces hommes ont toujours œuvré sans jamais s'interroger sur le fait que ces arbres subvenant a leurs besoins (pour des raisons militaires ou autres) pouvaient, soit ne plus repousser, ou disparaitre. Ces ouvriers du bois avaient-ils conscience, ou étaient-ils déjà atteint d'un trouble psychique qui pour eux n'en n'était pas un, car inexistant à leur époque, puisque non diagnostiqué. Tous leurs agissement faisaient partie de la réalité, d'une normalité environnante de leur époques, faites guerres alignées en file indienne. Des guerres issues d’histoires de culs et de lignées de renom à venir.
 

Je prend pour exemple les arbres comme il pourrait s’agir d’un autre bien matériel, ou de nourritures issues d’animaux, ou encore de cultures. Tous ces hommes du moyen-âge ne se sont jamais dit : nous sommes de grands malades, car en continuant d’agir ainsi, jour après jour, année après année, nous allons finir par ne plus pouvoir exploiter le bois. Notre fin est proche, car nous allons nous retrouver sans plus rien à exploiter. Et si nous continuons à en abattre autant, il nous sera impossible dans les années à venir, soit de fabriquer des bateaux de guerre, soit des meubles. Ainsi nous allons nous retrouver dans l’impossibilité à nourrir des centaines de milliers de bouches, pas encore nées, pour les quelles, il nous faudra des quantités astronomique de nourriture. 
 

Alors ces gueux étaient-ils tous fous ? Ou gaspillaient-ils autant que nous le faisons de nos jours ? Il y a de quoi s’interroger. Sachant que dans notre chronologie historique, il y a une voir plusieurs ruptures franches constituées de régressions intellectuelle étranges voir inattendues faisant partie de notre histoire et que l'on explique pas trop. Exemple : la chute de l’empire romain et de ses savoirs a laissé place a un moyen-âge terrible fait de guerres et servitudes. Où sont passées ces sagesses romaines ? Qu’en avons nous fait ? Ce moyen-âge sous entend cette dernière régression qui s’est déroulée juste avant l’arrivé des siècles dit des lumières. Ce moment où tout a coup, les cerveaux d’intellectuels de leurs époques ce sont mis à fonctionner avec des logiques et des raisonnements incroyables. Certifiant a tord ou a raison qu'avant  l’arrivé de ces têtes d’ampoules, nous n’étions pas très très futé.
 

Sachant que nous en 2022, nous avons beau avoir su concevoir des IA (Intelligences Artificielles) sachant penser ou créer de façon différente de nous. Et bien elles ne nous sauvent pas de nous même, ni de nos actes quotidiens meurtriers et destructeurs. Ces technologies belles et bien créées n’attestent pas que nous sommes meilleurs ou plus intelligent que ces hommes ayant vécus, il y a 500 ans. Puisque toutes nos activités humaines commerciales impactent bien au-delà de nos frontières, une terre bouleversée du pôle nord au pole sud. Une terre qui n’a jamais eu de garde fou pour encaisser toutes nos attaques, envers ce qu’elle est, ce globe bleu suspendu dans l’espace et qui se refroidit à son échelle, lentement mais surement.
 
 
Ces catastrophes plus ou moins grandes à venir alignées, elles aussi, en file indienne ne seront que la seule et unique réponse non pas de ce globe bleu a nous les hommes, mais celle des hommes envoyant un message mortel aux hommes de demain. Et toutes ces catastrophes liées au climat, au changement d’atmosphère, à la déforestation, à l'exploitation intensive (animales ou agricoles), à la pollution des sols et des mers et j’en passe des pires et des plus pires. Des choses que nous savons réelles mais qui ne nous importent pas, car hors de nos champs de vision, impalpables puisque placées à des années lumière d’une conscientisation collective ou d’une élévation intellectuelle, nous obligeant à agir autrement, dès demain matin. Mais sur tout du fait que nous en France nous n’avons pas encore subit les véritables dégâts du « pire du pire ».
 
  
la suite dans le prochain post
 

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