mardi 26 mai 2020

Le jour ou le monde a dit NON à la Terre

Le jour où la moitié du globe a dit non, fait déjà parti du passé. Ce refus unanime se passe en France, tout comme il a lieu en chine et à travers le monde actuellement. Il va encore se produire ailleurs sur terre. Ce fameux jour où tous les habitants de notre pays ont prononcé d'une seule voix et à l'unanimité un refus. NON, nous refusons de changer toutes nos attitudes malfaisantes, envers notre planète, la terre. Nous refusons ouvertement d'avoir des comportements différents, ou d'en créer des autres qui soient moins dangereux pour nous et notre avenir. Nous refusons que les enfants que nous avons eu aujourd'hui vivent bien demain. Ce refus s'est produit ici dans notre pays dit civilisé, en ce lieu terrestre, qui se pense enfin être sorti de la crise qu'il vient de vivre, en traversant l'épidémie du coronavirus, pourtant sa pandémie n'en est pas à sa fin.

 Pour que je vive, il faudra que tu crèves, car les asticots en ont décidé ainsi

Hélas, il n'existe pas de  raison valable qui ferait que rien ne reprenne sa place aujourd'hui. Les choses doivent être et rester ce qu'elles sont. Rien ne doit au grand jamais changer Que se soit ici en France, où ailleurs dans le monde, rien ni personne ne viendra empêcher qui que ce soit de faire ce pourquoi nous sommes tous là à tous nous activer tels des asticots fous libérés de leur boite. 

Tous là, à très vite faire cette chose que l'on pense essentielle à nos existences. Nous devons tous, quoi qu'il en coûte à d'autres, reprendre le cours d'une vie, qui n'est que la notre, en retournant travailler. Peu importe l'art ou la manière composant le métier, si nous souhaitons survivre demain, il nous faut à tous et toutes de l'argent et pour l'obtenir, il n'existe pas 36 000 solutions. Un salaire n'est jamais apparu grâce à de la magie sur un compte bancaire. Ce numéro fiscale obtenu en travaillant, n'est et ne reste qu'un chiffre qui va vous ou nous permettre de vivre durant la très courte durée d'un mois. Alors, il nous faut à tout prix, aller le chercher quitte à répéter les mêmes erreurs mortelles actuelles.  La survie des asticots ne dépend que de ce salaire. Nos actions pour l'obtenir ne riment plus à rien et n'ont pour certains labeurs, plus aucun sens.  Nous allons juste chercher de l'argent, là où il est, par obligation, sinon l'assiette d'après demain restera vide et les enfants pleureront de faim.


  Pour que je vive, il faudra que tu crèves, car les asticots en ont décidé ainsi

Que la planète se meurt, aucun de tous les travailleurs que nous sommes, ou avons été n'ira vérifier si ce que j’écris est ici vrai ou faux. Le grouillement général de tous les asticots dans leur ensemble s'en foutent royalement. Mais alors, où sont donc les Greta Thunberg, les Nicolas Hulot pour ne pas dire les Haroun Tazieff. Mais où ont-ils donc bien pu passé, tous ces écologiste sauveurs, missionnaires, démissionnaires du monde ? Où sont donc, tous ces prédicateurs de malheurs et collapsologues ? Où sont donc tous ces comiques ?

 Pour que je vive, il faudra que tu crèves, car les asticots en ont décidé ainsi

Là  non plus, personne pour vérifier, si tout ce que ces pessimistes du vivant ont dit, écrit ou fait, sur cette écologie à mettre en œuvre le plus rapidement possible de nos jours, est vrai ou faux. Pourtant il y a urgence. La périclitation de notre monde reste une des causes primordiales à défendre pour la survie de l'humanité, mais hélas avec deux images photoshopées, une vidéo sur Youtube et un buzz, notre idiocratie mondiale se fendra la gueule une dernière fois, juste avant d'avoir bêtement le souffle coupé, sans rien comprendre à ce qui lui arrive. 

Moi, je ne peux que constater le nez rempli de micro-particules de métaux-lourds, la tête micro-ondée par les réseaux wifi me traversant, tout l'amertume que m'apporte cette vue du comportements tueurs, par des asticots mâles ou femelles cupides. Que ce monde qui est le votre est celui que vous aimez tant souiller de par vos actes et excréments, chaque jour. Ce monde est également le mien, sauf qu'en tant qu'asticot à grosse tête, je m'efforce à le souiller le moins possible, car je sais que sans lui je ne pourrais vivre. Le fait de voir, ce qui d'ici peu ressemblera à une déchetterie mondiale se réchauffer et assombrir les neiges éternelles à grande vitesse, ne convient pas trop à mes poumons.

  Pour que je vive, il faudra que toutes vous creviez, car les asticots en ont décidé ainsi

Et nous tous, asticots sans cervelle avide de bougeotte, nous reprenons petit-à-petit ses mêmes mouvements identiques à ceux d'avant cette pandémie. Nous ne nous remettons pas le moins du monde en cause ou en question. Tout n'est que de la faute des asticots chinois, vu qu'il est tellement facile de les critiquer si loin de nous autres. Alors nos boites de conserves à quatre roues roulent, nos chevaux de fer roulent, tout roule, tout flotte, tout vole et l'or peut jaillir de nouveau des fontaines bancaire d'euro-dollars. Ces sources intarissables que les asticots ouvriers du monde n'en verront jamais la couleur, hormis quelques gouttelettes disséminées par ci par là, pour ceux qui auront la chance de tomber dessus.


 Pour que je vive, il faudra que tu crèves, car les asticots en ont décidé ainsi

Pendant ce temps, dehors, je ne vois pas beaucoup de zorros, à croire que le coronavirus à totalement disparu, comme s'il avait pris ses cliques et ses claques et se serait fait la malle. Pourtant les chiffres morbides qu'il produit tombent tous les soir dans les gros titres des infos que les asticots mangeur de claviers dégustent. 

Pourtant ce virus n'est pas une simple grippe, il n'est pas non plus une appendicite, il n'est pas un handicap. Il n'est et ne restera qu'un virus qui aura fait beaucoup parler de lui. Les raisons de son apparition restent floues, tout autant que les recherches ou les prédictions annonçant sa soudaine et rapide disparition. Les miracles annoncé des futurs vaccins coutant le prix d'une boite de 10 préservatifs, sans doute...
Préférez lui alors les capotes, plutôt que de continuer ainsi à massacrer notre monde avec ces armes, qui le tuent plus vite que ne descend la lame d'une guillotine sur nos cous d'irresponsables.


 Pour que je vive, il faudra que tu crèves, car les asticots en ont décidé ainsi

Les asticots et leurs vices ont comme toujours profité de cet élément vivant meurtrier, pour en faire "un bien" qui peut lui sembler utiles ou lui rapporter encore plus d'argent. Car, il lui permet de vendre du papier en grande quantité, sous ou dans des formes diverses. Que ce soit des journaux télévisés, voir peut-être même ces masques de protection que l'on a tant attendu. La première fois de ma vie que je vais vu, de mes yeux vus, que nous avions abusé des médias ou qu'ils nous ont abusé afin de faire d'une guerre un spectacle continu, fut la guerre du golf en 1990. Heureusement que ce virus ne s’immisce pas dans les asticots que nous sommes comme ces fous de guerre, qui ont œuvré à sauver le monde d'une crise pétrolière. Plus sauvage et imprévisible, il est 100% naturel, comme si la terre voulait se débarrasser une fois pour toute de cette présence trop humaine qui parasite sa surface, si elle n'y arrive pas aujourd'hui, sa fièvre s'en chargera demain.


 Pour que je vive, il faut que tu sois le prochain à crever, car les asticots en ont décidé ainsi

Le coronavirus lui ne se débarrasse de personne, il veut juste vivre au travers de chacun d'entre nous. Et si nous lui survivons pas, c'est peut-être parce que nous n'avons pas été suffisamment fort. Peut-être que se cache derrière lui, la question d'une sélection naturelle qui doit de faire d'une manière ou d'une autre. Les dinosaures ont peut-être côtoyé un de ses frères qui sait ?

Notre coronavirus, ne se montre que par les ravages qui fait sur les hommes qu'il allonge à la pelle en moins de deux dans des lits d’hôpitaux high-tech. Ces lieux aseptisés ou les écrans clignotent à tout va, indiquant par ces lumières digitales, si les asticots mâles ou femelles, qu'il a transformé en peau de banane inerte sous vide, s'ils seront ou pas, encore capable de gigoter demain, ou s'il nous faudra les enfouir. Nous, situés juste à côté de ces fruits presque morts, nous voulons des vacances, ou, aller à la plage au mois de juillet. Nous voulons dés à présent des euro dollars de chocolat. Est-ce décent ou indécent, est ce le bon moment pour ne penser qu'à ça ? 

Nous voulons reprendre ce qui ne nous a jamais appartenu et profiter de ce lapse de temps dont nous savons maintenant à quel point il peut être court. Profiter pleinement cette chose que l'on nome la vie. Alors qu'il nous faudrait réellement et volontairement changer tous nos modes de vie, toutes nos habitudes. Tous repenser, afin justement de pouvoir continuer à vivre une vie simple, normale sans que dans quelques années ou quelques temps nous soyons confronté au pire du pire...une vie qui serait possiblement respirable, sans que l'on nous oblige demain à nous empoisonner d'une façon plus asticotée.


kaze



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