dimanche 9 janvier 2022

Rétrospective 2021 - part - 1

Doit-on se protéger de nous-même, avant d’essayer de protéger un environnement, la nature, la vie d’êtres différents de ce que nous sommes ? Dans cette tentative de réponse, je n’écris pas sur le Covid-19. Ce n’est pas de ce virus dont il est question et je fais pas l'éloge des virus).

Mais, un virus n’était-il pas déjà, ou ne serait-il pas un début de réponse a une telle question.
 
le Bombyle

Dans la nature se trouvent ce que je nome des stratégies qui peuvent être définit par d'autres personnes comme de simple pouvoir, ou pouvoir d'agir. Mais pour moi elles vont bien plus loin que ces idée là. Ces stratégies sont réelles, elles existent depuis la nuit des temps et font partie du vivant. A quoi servent-elles ? Elles sont là et s’adaptent sur des temps très longs, afin que des êtres vivants, qu’ils soient animaux ou plantes puissent justement continuer d’exister, vivre ou survivre sur terre. Une planète terre sur laquelle s’opèrent aujourd'hui dans ses environnements, et ce, depuis les "fumeux" temps modernes de l'homme de vastes bouleversements qui sont  : climatiques, atmosphériques, marins et terrestres.
 
Mr Gorgebleue-à-mirroir
  
L’ensemble de ces stratégies peuvent prendre, être visibles, ou exister dans différentes type apparences. Elles peuvent être de formes variées, de dimensions variées, de temps plus ou moins longs ou courts, ou encore de multiples couleurs et ne se retrouvent pas toujours " juste " dans l’exécution d’un acte que  les hommes considèrent comme surprenants (petite piqure de rappel sur notre méconnaissance actuelle de la nature et ses habitants). Il peut arriver que certaines de ces stratégies, si elles sont défensives, seront piquantes alors que d’autres plus vitales seront beaucoup moins douloureuses, mais s’effectuent également dans cet acte de piquer. Ou encore de mordre, de sucer, d'infecter, de s’immiscer, de parasiter, de nettoyer, de ventiler, etc…un hôte, un végétal, un caillou, du sable, etc. Soit mille et une action permettant la vie, la survie, ou encore la pérennisation d'êtres différents de nous, de continuer.
 
 Thomise variable
 
 
Un exemple de stratégie défensive : les guêpes et abeilles sont pourvues de dards. Ces insectes et ne les utilisent qu’en dernier recours face à des dangers mortels immédiats. Nous et nos idées trop humaines de ces animaux miniatures, font que nous rejetons toujours sur ces insectes, tel un défaut de conception, le fait d’être piqué. Nous avons beaucoup de mal à nous dire que nous sommes la cause ou la raison qui a fait que, suite à l’un de nos gestes déplacés ou irréfléchis, nous nous sommes fait piquer. La faute ira toujours à l’encontre de la guêpe, cet être inférieur à nous et qui est toujours mauvaise par temps orageux. Comme si nous les humains étions des modèles de personnes zen au volant de nos véhicules, lorsqu'il y a de l'orage dans l'air. Je m’arrête d'écrire pour aller rire seul, pendant 5 minutes.
 
Accouplement de Grapholita delineana (tortricidae) ou encore
papillon du chanvre eurasien

De plus nous trouverons jamais à tord, mais toujours à raison, cette sacro-sainte excuse qui à fait que l’on s’est fait piqué, alors que dans les faits nous avons écrasé, sans nous être rendu compte de sa présence, une abeille qui était posée là. Et l'on viendra également scander " elle m’a piqué ! elle a voulu me piquer ! Ho tu le crois, ça, elles m’ont toutes attaqué !  alors que la cause n'est qu'accidentelle.
 
 
Suite au prochain post
 
 

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