mardi 21 juin 2022

Malade depuis plus de 10 000 ans - partie 4 - fin

Mais ces actes ne sont pas nouveaux, ils existent depuis je le répète, encore une fois, peut-être depuis des centaines de millions d'années. Que les restaurants populaires n'existaient pas encore que la nourriture était déjà gaspillée ou que les hommes vivaient nu. Elle à bon dos, notre Révolution Française et son grand manque de pain, nous faisant croire que les gens crevaient la dalle dans les rues. Alors, que les riches cette période ne se souciaient guère, de savoir dans quel estomac allaient finir les restes de leurs repas. Peut-être que le manque de pain  fût une des raisons de la prise de la Bastille, mais ailleurs qu'à Paris, je doute que tous les français n'avaient pas de quoi se nourrir. Quand on crève réellement de faim, nous ne sommes plus capable de mettre pied devant l’autre, fatigué et las et l’on reste couché à attendre qu'une bouffe miraculeuse nous tombe du ciel. Nous restons ce corps incapable de marcher. Aujourd'hui, je doute sur le fait que les révolutionnaires issus des provinces de France se soient déplacés et  battus à Paris pour l'égalité et la liberté le ventre vide, nourrit d'une seule part de rage au ventre...hum...cela reste discutable...

Il n'y a rien d'inquiétant dans tout ça, mais nous sommes hélas de nos jours certainement, très, très malade et très gravement atteint c'est sur. Les exemples sont nombreux et dans beaucoup de domaines, ils pourraient tous délier des langues d'un peu partout en Europe. La France est son histoire très saine faite de guerres et d'inégalité multiples. Le monde et son histoire fait de guerres multiples pour des raisons d'idéologies folles et dangereuses. 

Mais, assise juste a côté de tout ce qui a pu se produire dans l’histoire du monde et son humanité, il y a cette "continuité existentielle" ou ce "besoin vitale" prônant le fait de massacrer durant des décennies entières, encore et encore, des millions de milliards de tonnes d’animaux devenant "la barbaque" par plaisir du gout humain. Ces actes de crimes organisés mondiaux, envers une partie du vivant, n'interroge personne, n'inquiète personne. Ni même sur les incidences et les maladies graves qu'elles impliquent sur nos corps actuellement (obésité, maladie cardiovasculaire peut-être même Alzheimer qui peut dire si cette idée serait fausse ? et des pathologies a foison). Normale, puisque nous sommes tous atteint de ces troubles psychiques qui actuellement ont canalisé les ressentis et les émotions que l’on se devrait d'avoir en énergie du gout positive, prônant le fait que la viande est bonne crue ou cuite...alors, qu’elle n’est issue que de cadavres d’êtres vivant différents de nous. De viandes que l'on peut facilement substituées avec d'autres consommables. Des aliments contenant eux aussi des protéines, nos magasin en sont remplis, mais l'effort de changer d'alimentation ne nous convient pas (croyance, éducation et environnement social, pression sociale sont les responsables du refus de changement). Juste pour dire a quel point, nous sommes atteint par ces maux psychiques qui ont transformé l’odeur "du macabre" en viande cuite, grillée, rôtie, bouillie ou la vapeur, en quelque chose, que l’on sent avec nos narines et que notre cerveau interprète aujourd’hui comme quelque chose de bon, ou qui sent bon, de bon à manger au travers d’un message olfactif, qui pour ma personne, n’est qu'une illusion cérébrale, une erreur de décodage, une mauvaise interprétation, un bug corrigé dans la matrice de nos têtes.

J’ai cessé de manger de la viande il y a 8 ans. Les odeurs issues des broches de rôtisseries me perturbent aujourd'hui. Car, pour ma personne, elles me transmettent juste le message d’une odeurs de chairs brulées et non plus celle de viande cuite ou rôtie. Mais, celles d’un élément organique que l'on aurait cramé. Aujourd’hui je ne peux rester à côté de ses objets de cuissons sur les marchés, car elles me donnent la nausée. Comme si l’interprétation de mon cerveau face ces odeurs de cadavres brulés font que ne je ne puisse plus écrire "de la viande cuite" mais définir l'odeur réelle suspendue dans l'air. Car, ce sont bien des cadavres d’animaux qui sont devant moi et leur chairs sentent le roussi et la chaire brulée. Faites cette petite expérience : coupez vous un morceau ongle et brulé le avec la flamme d'un briquet. L'odeur qui va venir agresser vos narines est celle de la matière organique vous composant qui carbonise. Faites le rapprochement avec les odeurs des rôtisseries, qui elles cuisent beaucoup plus lentement ces autres matières organiques. Vous allez vous rendre compte que si la cuisson irait jusqu'à son terme une odeur identique a celle de votre ongle, viendrait aussi agresser vos narines. Partant de là, vous allez ne plus voir la viande de la même façon, ni même la déguster, naissance d'un dégout total.

Cela va très loin, puisque même l’odeur de la viande et du sang dans un supermarché est détectée par mes narines (l'odeur du sang est très proche de celle du fer). Souvent en balade dans la nature je porte beaucoup d'attention aux odeurs qui m’entourent et celles que je véhicule issus de mon corps. Mon nez m’avertit si un cadavre n’est pas loin, si un troupeau n’est pas loin, si des plantes aromatiques poussent pas loin, ou si des résineux et autres plantes poussent dans les environs ou si une personne fumant des cigarettes ne se situe pas loin.

Dans la nature je pense que les odeurs des plantes sont aussi importantes pour notre bien être, que les chants d’oiseaux, que les couleurs des fleurs et de la nature aux différentes saisons. Tout dans la nature est conçue de façon adapté aussi bien aux hommes, que pour les individus différents de nous (vivant sur terre, dans l'eau et l'aire), la flore et tous ces biotopes et environnements. Les odeurs ont ces capacités étranges de nous mettre soit à l’aise, soit mal à l’aise. Tout dépend de l’interprétation du message que notre cerveau en fait. Sentir l’odeur du gaz nous met rapidement en alerte sur le risque de danger immédiat. Une femme qui est parfumée sans que l’on sache si elle est belle ou non, sera regardée tant par les hommes que par les femmes. Tous chercherons instinctivement ou primitivement après son passage à poser leur vue sur l'individu porteur d'un message olfactif puissant et qui les aura interpellé à distance, juste en ayant reniflé une odeur volatile (qui n'est pas la sienne) sucrée, vanillé, acide, poivrée, etc...

En entrant dans un hôpital, ce milieu aseptisé par des précautions d’hygiène aura sur chacun d’entre nous, un impacte qui peut-être d’inquiéter au plus haut point soit les uns, soit de rassurer les autres, voir parfois dans de rare situation donnera l’impossibilité d’une personne d’y mettre ne serait ce qu’un seul pied. Tout comme dans une maison de retraite, où les odeurs particulières, suivant l'endroit où l’on se situe, viennent interpeller nos narines par l'eau de Cologne et le savon bon marché transporter d’un endroit a un autre par les petits vieux. Ou celles de leurs urines ou de leurs protections bonnes à changer, voir parfois même, portant sur eux l’odeur du repas de midi dans leurs vêtements, ou celles d’un couloir rappelant que même la mort a une odeur âpre, que l’on peut reconnaitre avec le temps passer à œuvrer dans ses structures.

Dans ma vie, j’ai découvert, une odeur qui est pour moi l'indicateur d’une chose de très mauvaise, que je ne dois pas avaler ni même respirer. C’est celle de la dent et de la carie traitée lors de soins par la fraise d'un dentiste. Mes dents sont faites d’un émail qui est d’origine organique, comme le reste de mon corps. Dés la première fois ou un dentiste a soigné ma première carie. Mon cerveau été marqué au fer rouge de l'odeur de se soin et ne l’oubliera jamais. Actuellement mon cerveau a associé cette odeur a quelque chose de presque similaire aux chairs brulées animales (qu’elles soient des rôtisseries, ou de restaurants) et me dit que pour mon bien être, il ne faut surtout pas que j’avale cette matière, car mauvaise pour ma santé. 

Si vous y prêter un peu d’attention vous remarquerez que des similitudes odorantes sont présentes dans ces odeurs, certes peu réjouissantes, mais pourtant bien réelles. La mauvaise odeur de la dent cariée soignée nous informe lors du soin avec un "ça pue vraiment, il était temps que je me soigne" et mon corps fait en sorte d'être le barrage qui n'avalera cette mauvaise matière incluant de la dent non cariée dans notre salive, lors du soin. Quand cela nous arrive nous sommes pressés de cracher tout ce que l’on a en bouche. Je pense que le fait d’avoir depuis 8 ans arrêter de manger de la viande m’a sevré de cet aliment organique issu de cadavres. Mais pas seulement puisque mon cerveau s’est également défait de l’association chairs et os brûlés qui pour ma personne qui étaient perçues comme "miam, ça sent le bon barbecue à manger" en une odeur répulsive. J’ai peut-être guérit un de mes nombreux troubles psychiques grâce a un sevrage. Celui d’un aliment que je ne considère plus comme en être un. Aujourd'hui je ne vois que des êtres vivant ou des individus qui tout comme ma personne sont présents et ne souhaitent que vivre dans la même temporalité de vie, que la mienne . Qu’ils aient deux ou quatre pattes, des cornes ou sans, des plumes ou des poils ou marchant sur des sabots ou avec mille pattes...tous ont le droit de vivre à leur façon.

Pour ce qui est des troubles psychiques de l’homme malade, nous ne les solutionnerons pas rapidement. Il nous faudra beaucoup de temps pour que tout soit compris, entendu, mais sur tout guérit. Mais, je pense que grâce aux témoignages racontés, telles que celui-ci et des transmissions d’informations en usant du net a bon escient, nous allons petits-à-petit devenir, moins pire, que ce que nous sommes actuellement, pour demain. Voir, beaucoup moins nuisible pour "cet autre"  qu’ils soient humains ou animale. Je garde ce bon espoir que l’on va bien finir par le comprendre et définir ce qu’est "le vivant" et la façon dont nous devrions vivre avec, afin qu'il puisse tout comme nous vivre et perdurer aussi longtemps que nous.

 

Fin - Kaze

 

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