jeudi 1 décembre 2022

Rétrospective 2022 - partie 1

Merci à tous et à toutes pour cette belle fin du monde enrubannée à souhait. D’ailleurs, je vous souhaite la meilleur qui puisse être. À la veille d’un hiver nucléaire se situant à 3000 kilomètres du clapier dans le quel je vis. Je ne me suis jamais senti aussi bien dans mon mal-être. Alors santé ! Kempai ! Tchintchin…argh…le loup ! Voici donc sorti tout droit de ma poubelle d’ordinateur recyclé les 12 photos de ma rétrospective de 2022. Quelle chance, que j’ai, d'avoir encore pu observer de si beaux papillons, alors que nous savons tous, que 80%  de leurs effectifs manquent à l’appel. Là, il n'est question que de papillons, mais ce mot "disparition" est aussi valable tant pour les oiseaux que ces autres petits peuples vivants différents de nous.


sauge ananas    

 

Une année si nulle en COP27, puisque aucun de nos dirigeant n’a souhaité encore une fois prendre ses responsabilités…kof…kof…kof. 2022 année si glorieuse en Covid19, puisque nous avons tous été obligé de mettre dans nos corps contre cet invisible mortel, une chimie dont nous ne savons les effets secondaires à long terme. Au passage, je rappelle que ce virus était une probabilité en 2016 voir avant devenue une réalité dans la quelle il nous a fallut vivre enfermé. Ce Covid n'est qu'un prélude, d’autres aussi jolis lui nous infecteront tôt ou tard, si nous souhaitons continuer à manger des viandes issues d’élevages intensifs, arrivant de l’autre bout du monde. Et continuons a boire ces laits made in Jenessaizoù…

Contre qui ou quoi mon écrit va-t-il se tourner cette année ? Je ne vais rien écrire contre personne, "je fais" comme tout le monde ici bas. Je viens étaler un tas d’immondices, comme à mon habitude, afin de vous faire mourir de rire. Votre mort participera à cet effort crucial contribuant à éviter une surpopulation mondiale, dont la courbe actuelle, ressemble étrangement à celle un membre en érection. Les cygnes ne trompent jamais.

 

Bruant des roseaux
 

Alors en me masturbant le cerveau, j’ai fait cette étrange découverte qui n'en est pas une. J’ai découvert il a peu que bien que nous sommes ces humains constitués d’un assemblage organique, nous ne sommes pas que ça. Nous sommes des machines pilotées par autre chose que ce qui définirait notre intelligence. Ni le conscient, ni l’inconscient ne viennent agir, soit de manière individuel ou en association, en nous poussant des actes réfléchis ou irréfléchis, souvent ils sont irréfléchis lorsque l'on constate les dégâts planétaires de nos jours. Vérité vraie ou fausse connerie, je n’en sais rien, je n’ai pas la réponse. 

Je ne fais que constater une similitude entre fonctionnement de nos corps et nos façon d’agir au quotidien. Car nous sommes ces corps en mouvement qui perpétuellement ne font que répéter ce que nos corps, nous dictent d'accomplir, sans faire appel à notre conscience ou notre inconscience (exemple : faire des courses à répétition, remplir ou vider quelque chose, reproduire quelque chose, des actions banalisées devenues des automatismes (flippant)) soit être ces pendules a mouvement perpétuels qui ne peuvent jamais se détaché de leur base. 


Chrysope commune


Dit comme ça, c'est perturbant. Quand je lève mon bras pour me gratter la nuque, mon geste inconscient sera préalablement dicté par mon cerveau aux membres, car lui seul aura détecté l’endroit précis où ma nuque me démange. L’action est ici pré-calculée et reste qu'un réflexe cérébrale. Il n'y rien d'étrange la dedans, alors que juste à côté de ce type d’action, nous agissons, comme nos corps agissent au quotidien, nous prenons ou usons d'un bien pendant un certain temps, pour ensuite le rejeter sans en avoir plus aucune considération. Il est tellement vrai, que je n’ai jamais eu de remord en tirant la chasse d’eau, hormis pour l’eau potable utilisée à mauvais escient. Ou encore mon estomac digère des aliments grâce aux sucs gastriques, tout comme des ouvriers vont dans leurs usines digérer lors de multiples actions, des outils et des pièces déposées ici ou là, afin de produire un objet qui sera évacué par une usine, qui elle, au préalable aura avalée des tonnes de brutes. Tout comme ces autres humains viendront vider les stocks de marchandises d'un magasin qui aura été au préalable approvisionné.

 

suite au prochain post 

 

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