jeudi 1 décembre 2022

Rétrospective 2022 - partie 3

Car tous nos actes quotidiens font malheureusement que nous laisserons toujours derrière tous nos achats des kilos de papier, des tonnes et des mégatonnes d’immondices, de déchets, de merdes, du Co2 à n’en plus finir, etc. 

Et qu'ils soient avions, bateaux, cars, ou trains ne changent pas grand chose aux résultats destructeurs de l'équation. Hélas, même un train pollue, car pour le construire, il nous faudra toujours polluer. Le train nait pas d’une trainée, mais d’une usine et avance grâce au nucléaire en France. Encore une longue liste de polluants, tout comme notre corps éjecte lui aussi 1 à 2 fois par jours les siens. Comme quoi, nos comportements humains sont similaires aux fonctionnements interne de nos corps, mais nous ne le réalisons pas, car nous sommes trop conditionnés à vivre pour travailler, payer, travailler, payer, sans plus aucun concept d’un bonheur se trouvant ailleurs, que dans ces modes de vie de consommateurs par obligation qui sont les nôtres actuellement. Et si, nous consommons rapidement alors notre digestion sera bouleversée, car troublée puisque hors de sa temporalité humaine, mais "la vitesse" joue exerce aussi un rôle tout autant dévastateur que tout le reste...
 

Avocette

Sachant très bien que de nos jours, il nous est très difficile pour nous tous, de sortir de ces modes liés à l’argent et aux fluctuations de la bourse. Cette banque mondiale universelle impacte, elle aussi, toutes nos vies tant celle du plus pauvre des pauvres au moins miséreux que les riches devenus ces ultra-riches. Transformant ces humains aux poches pleines, en paquets de nerfs sur pattes, stressants 2 fois plus de perdre ne serait ce qu'un centime sur des milliards d’objets à vendre. Objets qui ne sont et seront, car nous le savons que trop bien, n’être finalement que de futurs détritus.


Virgule ou Comma

 

Car, une fois toutes ces choses obtenues et usées (par temps de la digestion) nous nous en lassons et devons, puisque nous suivons, la mode, le progrès, le moove, le fun, la nouvelle vague, le mouvement, le net...de toujours avoir le dernier cri, qui est ce nouvel objet dont tous parlent, mais que nous n’avons pas encore. Son acquisition fait que nos objets passe de mode, pourtant ils ont également traversé nos vies. Dés lors, nous pouvons, nous en détacher, nous en séparer en les revendant sur un site internet. Devenant, ainsi, non plus "des clients" mais des acteurs (en nombre conséquent) participant à devenir vendeur, pollueur, entrepreneur, voir businessman emporté par la vague gigantesque de ce commerce mondial. Son immense flot, nous porte sur l’illusion d’une micro-réussite, qui n’en n’est pas une, car aucun d'entre-nous ne devient milliardaire en un claquement de doigt. Ou, nous nous débarrassons de ces objets désuets d’une manière plus radicale.

 

Anémone du Japon

Tiens je viens d’écrire "choses qui ont traversé nos vies" égale à "choses qui ont traversé nos corps". N’oublions pas que toutes ces objets et aliments laisserons tôt ou tard une empreinte sur nous, nos corps, nos environnements sociaux et malheureusement naturels. 

Certes, le destin tragique de l’homme est de mourir, mais avant de lâcher son dernier souffle, l’homme, quel qu’il soit, veut vivre en brulant sa vie de nos jours par les deux bouts. Sans jamais, au grand jamais, se soucier de savoir si ses activités polluantes bousillent, ou pas son monde dans le quel il vit, qui est le sien. Demain d’autres dirons de nous, que nous étions "ces parasites terrestres à l'immense capacité d’adaptation, en vivant sur les immondices, dont nous seul étions, les géniteurs."

 

suite au prochain post


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